Un puissant homme d’affaire camerounaise de la région de l’Ouest du pays, décédé récemment, laisse derrière lui, une grande famille déchirée.
Certains parlent de l’hypocrisie du défunt qui s’est donné à un mauvais jeu, grâce à son argent et épouse trois femmes, dans trois ville différentes, en signant chaque fois la monogamie.
Pour contrôler l’ensemble des biens laissés par le défunt milliardaire, les trois femmes sont au tribunal, afin que ce dernier se prononce sur l’épouse légitime.
Ce dernier avait contracté son premier mariage à Bafoussam avec son amour de jeunesse.
Il ira par la suite dans la cité économique Douala, pour faire prospérer ses affaires. Il épousera ici la seconde épouse.
Les affaires se portant très bien, il va se tourner vers l’international et s’établir à Paris, où il épouse la troisième femme.
Chaque fois il se mariera et signera monogamie. Aucune des femmes n’ayant connaissance de l’existence des autres, jusqu’à son décès.
Cependant, au tribunal, l’on apprendra que le défunt avait introduit une demande de divorce avec la première épouse. Il mourra malheureusement sans que cette procédure aboutisse.
Celle-ci et ses conseils affirment devant la barre que son acte de marriage est valable et ceux signés dans les « Sissongho » étant nuls et nul effet.
Ce que conteste la deuxième épouse qui affirme qu’avant sa mort, son époux l’avait confié qu’il était en instance de divorce avec la première.
Au tribunal, on attendait toujours la déposition de l’épouse de Paris, qui semble-t-il n’était pas au courant de tout ce qui se tramait au Cameroun.
Cameroun24 a également appris qu’un conflit latent dans cette puissante famille à l’Ouest du Cameroun, était en gestation entre les enfants du défunt. Nombreux sont ses enfants et épouses non déclarées qui s’apprêtent également à demander leur part d’héritage.
Les avocats s’en donne à cœur joie dans cette affaire qui commence à durer et dont les juges ont de la peine à trancher à cause des nombreux rebondissements.
Articles précédents
Articles suivants