Il ya quelques jours on lançait l’alerte sur le cas de cette Mme Madjiki Arroga epse Essam Mireille Laure agressée chez elle à Yaoundè par les hommes sans foi ni loi.
Elle a finalement rendu l’âme il ya 2 jours à l’hôpital général de Douala où elle y était sous soins intensifs. Jusqu’à ce jour, ses bourreaux sont toujours en cavale.Ci-dessous l’article qui parlait de sa situation
C’est une scène incroyable qui s’est passée dans la nuit du 27 vers 19h au quartier Mimboman Maetur.Mme Madjiki Arroga epse Essam Mireille laure, en service à UBA arrive chez elle et est arrêtée par des jeunes non encore identifiés aujourd’hui. Aussitôt arrêtée, elle a été ramené dans sa chambre, ligotée, aspergée d’essence puis brûlée. Depuis ce jour, la vie de la dame connaît des troubles énormes. La victime a été transportée à l’hôpital général de Douala, où elle s’y trouve jusqu’à nos jours sous soins intensifs. Ses bourreaux courent toujours dans la nature.
La famille désemparée s’en remet aux autorités policières et de maintien de l’ordre afin que ces derniers puissent interpeler ces malfrats. Qui les a envoyé ? Pour quelles fins ? Toutes ces questions taraudent l’esprit de cette famille et autres…
Le chef d’agence de la banque UBA de Nkolndongo à Yaoundé a été aspergée d’essence à son domicile le 27 décembre dernier.
Dame Madjiki Arroga Mireille Laura, a été brulée vive à son domicile. La chef d’agence de la banque UBA de Nkolndongo à Yaoundé a reçu la visite de malfrats le 27 décembre dernier.
La scène effroyable s’est déroulée au quartier Mimboman Maetur. En effet, apprend-on de Paul Chouta, l’épouse Essam « arrive chez elle et est arrêtée par des jeunes encore non identifiés aujourd’hui. Aussitôt, elle a été ramenée dans sa chambre, ligotée, aspergée d’essence puis brulée. », relate le lanceur d’alerte.
Actuellement, la victime est en soins intensifs à l’hôpital général de Douala. « Depuis ce jour, la vie de la dame connait des troubles énormes », renchérit Paul Chouta. Depuis lors, une enquête est ouverte par les autorités policières. Les commanditaires de cette agression courent encore dans la nature.