Kondengui vient d’être saisie par une affaire de mineur dont le pi.neur n’est autre que Steve Fah. Que s’est-il passé pour qu’une histoire de piment consommé dans les ténèbres jaillit dans la lumière ? Suivons ensemble le reportage de la panthère la plus sombre de l’Afrique Centrale.
Voilà des mois que la gamine Coco rêvant d’un destin à la Murielle Blanche multiplie des vidéos à travers les réseaux sociaux pour se faire une étoile sur le boulevard du 20 Mai mais les maigres vues et abonnés semblent mettre en évidence l’absence de talent dans son corps grassouillet renfermant de la graisse comestible que convoitera aussitôt Steve Fah suggérant à celle-ci un drôle de troc à savoir haricot charnu contre pistonnage…
Le bloggeur d’état s’en délectera du jus pubère à la fontaine de jouvence coulant à flot située entre les jambes jaunâtres de coco, comme du chewing-gum mentholé Steve Fah mâchera quotidiennement une bonne paire de tétons bien spongieuse collée à son visage avant et après ronflement.
Une chance d’être nourris au lait caillé d’une double tétasse non mûre lui rappelant certainement la mamelle flasque de maman qu’il tordillait de ses dents lorsqu’il ne fût qu’un innocent nourrisson…
Rassasié de coco et de ses voyages en elle, le bloggeur lui annoncera sa décision de la quitter pour d’autres horizons car selon ses dires, l’homme est un éternel oiseau qui changera de branches d’arbres durant son existence.
Dépitée et humiliée, Coco se vangera en révélant au grand jour la malhonnêteté de celui qui quelques mois encore lui promettait les marches au festival de Cannes.
Une métaphore dit clairement :
C’est en attachant son Dagobert que l’homme ambitieux construit ses immeubles.
Piment info, ça pique ça sucre mais quand cuit gère le retour une place.
