Un anesthésiste a été arrêté pour avoir prétendument vi0lé une femme enceinte pendant une césarienne. On pense également qu’il pourrait avoir agressé 2 autres mères le même jour.
Giovanni Quintella Bezerra, 32 ans, a été arrêté pour suspicion de vi0l après avoir été filmé secrètement en train de vi0ler oralement une femme après l’avoir fortement endormie à l’hôpital da Mulher de São João de Meriti, à Rio de Janeiro.
Le mari de la femme a été prié de quitter la pièce et n’a appris ce qui était arrivé à sa femme que lorsqu’il a reconnu le médecin à la télévision après son arrestation.
« Je n’ai jamais rien vu de tel », a déclaré la déléguée Barbara Lomba, qui est chargée d’enquêter sur cette affaire.
La femme a dit à sa famille qu’elle pensait avoir une hallucination au moment de l’agression s3xuelle.
Un anesthésiste a été arrêté pour avoir prétendument vi0lé une femme enceinte pendant une césarienne. On pense également qu’il pourrait avoir agressé 2 autres mères le même jour.
Giovanni Quintella Bezerra, 32 ans, a été arrêté pour suspicion de vi0l après avoir été filmé secrètement en train de vi0ler oralement une femme après l’avoir fortement endormie à l’hôpital da Mulher de São João de Meriti, à Rio de Janeiro.
Le mari de la femme a été prié de quitter la pièce et n’a appris ce qui était arrivé à sa femme que lorsqu’il a reconnu le médecin à la télévision après son arrestation.
« Je n’ai jamais rien vu de tel », a déclaré la déléguée Barbara Lomba, qui est chargée d’enquêter sur cette affaire.
La femme a dit à sa famille qu’elle pensait avoir une hallucination au moment de l’agression s3xuelle.
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Le personnel de l’hôpital se serait inquiété de la quantité de médicaments que Bezerra administrait à ses patients. Le médecin utilisait tellement d’anesthésiants que les mères étaient incapables de tenir leur bébé après l’accouchement.
Des membres du personnel soupçonneux ont donc installé une caméra secrète pour voir ce qu’il faisait. Ils ont été horrifiés de le voir agresser s3xuellement la femme.
Il l’aurait agressée s3xuellement pendant près de 10 minutes.
Selon les membres du personnel qui ont enregistré le vi0l, le médecin avait déjà pratiqué 2 interventions similaires ce jour-là. La police enquête pour savoir si ces 2 femmes ont également été victimes d’une agression.
Lors de la deuxième opération, le dimanche 10 juillet, les employés ont déclaré que Giovanni “portait sur lui une cape ouverte, élargissant sa silhouette, et se positionnait de manière à empêcher quiconque de voir le patient à partir du cou.”
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Dans la plupart des césariennes, la femme n’est pas totalement sous sédatif pendant la procédure, mais les femmes qui sont passées sous le couteau plus tôt dans la journée ont déclaré qu’elles étaient totalement inconscientes pendant la procédure.
VOICI UNE AUTRE HISTOIRE DE VI0L
Qui porte à l’attention de la communauté nationale et internationale , les violences perpertrées sur une jeune dame enceinte de quelques mois. Informé des actes de graves violences sur une femme enceinte par un élément en service de la brigade de gendarmerie territoriale de Mbangassina, environ 140Km de Yaoundé, dans le département du Mbam et Kim, Région du Centre; Et après des éléments bien documentés fait savoir que:
En date du vendredi 16 juillet 2021, à la suite d’un violent malaise en relation avec une grossesse extra-utérine caractérisée par de fortes douleurs pelviennes et de saignements vaginaux, dame Njouli Afata , réfugiée centrafricaine et résidente dans la localité de Talba, à Mbangassina, a été conduite en urgence, dans un état préoccupant, au dispensaire de Goura par ses proches.
L’ong informe qu’ “après s’être battu pour trouver une somme de 30 000 Fcfa auprès des proches pour voler au secours de sa belle-sœur, sieur Moise Dango, ancien militaire des forces armées centrafricaines (Faca), refugié au Cameroun, depuis le 06 juillet 2006, dans la localité de Ntalba, a entrepris de prendre la route de Goura à bord de sa moto.
Au niveau du carrefour Kemayo, non loin de la brigade de Mbangassina, ce dernier va trouver un poste de contrôle mixte gendarme, écogardes des eaux et forêts et les agents communaux, il a été interpellé par un jeune homme, en civil, qui lui a exigé la somme de 1000 Fcfa pour traverser alors que le gendarme affecté à ce poste, l’a déserté et « sirotait » sa bière dans un bar à quelques centaines de mètres .
Face à l’agressivité du jeune ”délinquant” qui tenait la herse fermant la route et face à l’urgence qui l’interpellait au dispensaire de Goura, sieur Moise Dangi a été contraint de rebrousser chemin pour contourner le poste par une piste sinueuse et boueuse
au champ aux fins de rejoindre la patiente.
Arrivée au dispensaire de Goura, le personnel soignant va avouer son incapacité à faire face au malaise de dame enceinte , Njouli Afata dont le pronostic vital était déjà clairement engagé et a décidé de la référer, en toute urgence, à l’hôpital du district de Ntui, chef-lieu du département du Bam et Kim pour une prise en charge urgente et appropriée.
“Faute d’ambulance ou d’un véhicule de transport en commun dans la localité du fait de la dégradation de la route, le sieur Dango a été contraint, eu égard à la course contre le temps, de la transporter à bord de sa moto en compagnie de la garde malade et malgré l’état inquiétant de la route en saison des pluies; Sur son chemin retour, l’ancien militaire va croiser au poste du carrefour Kemayo le gendarme Monty Akono, en service à la Brigade de Mbangassina, qui sortait d’un débit
de boisson dans un état d’ivresse assez avancé, selon des témoins.
La seule évocation du jeune délinquant à l’endroit du gendarme que le conducteur
de moto n’a pas versé la somme de 1000 Fcfa exigée l’a mis dans tous ses états, l’amenant à exiger au conducteur de moto de rebrousser chemin avec sa patiente; plusieurs minutes de supplications avec des pleurs intermittents tant de la garde malade que de l’ancien militaire, tous des réfugiés, à l’endroit du gendarme, voyant leur sœur agonisant et mourant entre leur bras, n’y ont rien changé à la détermination du gendarme qui, refusant toute négociation, a lancé à leur endroit des propos menaçants :
« …même si c’est une ambulance, elle ne passe pas (…)»
C’est donc dans l’impossibilité de contourner, à nouveau le poste, pour emprunter une piste
impraticable avec la patiente agonisante, et dans une tentative désespérée de traverser ledit
poste, le gendarme a foncé sur la moto pour l’arracher et le pire n’a été évité que grâce à
l’intervention des agents des écogardes et de la commune ;
C’est au terme d’une
trentaine de minutes dans le désarroi, alors que le gendarme a
confisqué la moto et sa carte de réfugié, le refugié centrafricain a été contraint de solliciter
les services d’une autre moto dans les environs.
Dans l’impossibilité de continuer à Ntui, situé à une cinquantaine de Km, face à une
course contre le temps, ils se sont résolus de conduire, en urgence, la patiente au centre
de sante catholique de Ntalba, dépourvu des infrastructures adéquates;
Y étant et malgré l’absence d’un plateau technique satisfaisant, le personnel soignant
a été contraint de tenter leur va-tout pour essayer de sauver la vie de cette pauvre dame
et elle a été immédiatement opérée .
Et selon notre source , au moment des présentes écritures, elle se trouve encore, dans un état préoccupant,
dans ce dispensaire privé confessionnel .
Joint au téléphone, par l’Ong internationale Mandela center, le Commandant de la Brigade de Mbangassina, qui n’a été
informé de ce malheureux incident que par les soins de Mandela Center International, tente
désespérément de protéger son élément et de justifier ses errements sordides.
Des agissements du gendarme Akono sont contraires au Règlement de
Discipline générale considéré comme la Bible au sein des forces de défense et de sécurité
camerounaises et ce dernier doit répondre de ses actes par tous les moyens.
Condamne, avec la toute dernière énergie, cet acte barbare de la gendarmerie nationale
contraire à la dignité humaine et qui n’honore point les forces de sécurité camerounaises;
L’ong exige, avec toute la fermeté, la restitution immédiate de la moto de la victime;
Demande, avec détermination, une enquête urgente conformément au Protocole
d’Istanbul de 1999 et des sanctions appropriées contre l’auteur conformément au
Règlement de Discipline Générale considéré comme la Bible dans l’armée camerounaise ;
Rappelle, avec insistance, aux autorités camerounaises qu’elles ont obligation de se conformer à
l’article 12 de la Cct:
« Tout Etat partie veille à ce que les autorités compétentes procèdent
immédiatement à une enquête impartiale chaque fois qu’il y a des motifs raisonnables de croire
qu’un acte de torture a été commis sur tout territoire sous sa juridiction »;
Avise clairement l’opinion que des requêtes aux fins des sanctions contre l’auteur ont été
diligentées auprès du Ministre de la défense, Joseph Beti Assomo, du chef de division de
la sécurité militaire, le colonel Joël Émile Bamkoui, du Secrétaire d’Etat à la défense chargé
de la gendarmerie nationale, Gallax Yves Landry Etoga.
Mandela Center , confirme, avec amertume, qu’une plainte a été diligentée contre le gendarme Akono de
brigade de gendarmerie territoriale de Mbangassina, auprès Du Commissaire du
Gouvernement près le Tribunal militaire de Yaoundé et il devrait répondre
reserve de ses actes, quelles que soient les éventuelles manœuvres.
Pour Mandela center , il s’agit des actes de torture, d’abus de pouvoir, de violence sur une femme
enceinte et de refus de porter secours à une personne en, faits prévus et sévèrement réprimés, respectivement, par les dispositions du Code pénal camerounais.